Notre volonté ? Agir en s'amusant.

Avec nos puzzles, nous appelons à la déconnexion et à la bonne humeur. Dans ce monde de mauvaises nouvelles, un moment pour souffler est essentiel au quotidien !

Car oui, le féminisme peut être synonyme de bonne humeur, et rien n'empêche d'associer la détente, la joie de vivre et l'engagement ! C'est ça, notre pièce à l'édifice.

Et parce que des mots sans actions ne valent rien, nous reversons 1 % de nos bénéfices à la Fondation des Femmes.

Pourquoi Une pièce à soi ?

En 1929, Virginia Woolf publie son essai : Une chambre à soi. Elle y explique pourquoi les femmes, afin de se libérer de leur condition, ont besoin d'espace, d'intimité, pour laisser libre cours à leur imagination.

Une pièce à soi, c'est un clin d'œil à ce livre, précurseur du mouvement féministe. Il rappelle le potentiel de chaque femme et la nécessité de le laisser s'exprimer... Et ici, on s’exprime !

Qui est derrière tout ça ?

Et derrière ce "nous" et ces engagements... Se cache la créatrice d'Une pièce à soi : Lorrine (c'est moi) ! Et oui, seulement une tête et deux mains.

Comment l'idée m'est-elle venue ? J'ai seulement eu envie de créer et diffuser de bonnes ondes, mais aussi de partager des principes qui me tiennent à cœur de façon positive.

Je veux faire bouger les choses, à mon échelle, sans prise de tête et avec le sourire (et parfois, en tapant du poing sur la table).

Me contacter

Mais on remercie aussi...

Anjy, chargée de marketing* et de danses de la joie (* a participé à la refonte du site)
Marie, chargée de logistique* et soutien des plans mal conçus (* elle réceptionne les palettes en mon absence et transporte des objets encombrants dans le métro)
François, chargé des envois des colis, de la confection des chocolats chauds et du soutien moral

Et tant d'autres : car Une pièce à soi, c'est moi, mais c'est aussi beaucoup d'aide et de soutien (rémunérés en amour et eau fraîche).